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Les Complexes homéopathiques d’urgence (CHU)

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Si la recherche du remède similimum (remède qui couvre l’ensemble des symptômes du patient) doit rester notre préoccupation constante, s’appuyant sur les symptômes étiologiques (énergies externes), pathologiques (stades de la maladie et tissus impliqués) et personnels du patient (les volumes internes en cause), nous devons bien souvent nous appuyer sur une approche complexiste et/ou organique. Celle-ci permettra d’ailleurs de dégager beaucoup de symptômes secondaires et souvent de conduire ultérieurement au remède similimum de façon plus objective. Cette façon d’associer les remèdes est aussi vieille que l’homéopathie, car du vivant de Hahnemann déjà, de nombreux praticiens, ayant remarqué que quelques remèdes seulement couvraient une symptomatologie particulière, utilisaient des complexes afin d’élargie le spectre d’action des remèdes et de leur simplifier la tâche, en limitant le risque d’erreur, donc d’échec.

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Attention cependant au piège de l’efficacité ! Un résultat probant obtenu facilement ne doit pas vous faire oublier que le remède similimum doit être recherché et prescrit, sous peine d’une rechute ultérieure. Certains « puristes » dédaignent la méthode, en mettant en avant que pour que celle-ci soit strictement homéopathique, il faudrait que nous disposions de pathogénésies de ces mélanges … Or quelques expérimentations ont en effet été faites de la combinaison de médicaments et publiées par le dr. Molin en 1840 : « Sulfur + Nux vom. » puis « Aconit + Belladonna » … 

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Ces formules sont plus orientées vers l’aigu (CHU), d’autres remèdes, comme les « sels biochimiques », vers des dysfonctions plus chroniques. Correctement choisis et donnés conjointement au similimum, ces remèdes aigus auront de plus l’avantage de faire disparaitre l’essentiel de la classique « phase d’aggravation » qui suit la prise de celui-ci.

Ces formules (associations les plus simples possibles de remèdes synergiques) ont été conçues dans l’optique d’un traitement d’urgence

Ces formules sont plus orientées vers l’aigu (CHU), d’autres remèdes, comme les « sels biochimiques », vers des dysfonctions plus chroniques. Correctement choisis et donnés conjointement au similimum, ces remèdes aigus auront de plus l’avantage de faire disparaitre l’essentiel de la classique « phase d’aggravation » qui suit la prise de celui-ci. Nous les avons dénommés CHU = Complexes Homéopathiques d’Urgence.

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Elles ont d’abord été désignées par un sigle ou abréviation (ex. : « Na5 » pour les 5 sels de sodium).  Il existe un obstacle limitant la pratique de l’homéopathie injectable : un délai de 14 jours est imposé par la législation pour la délivrance des ampoules injectables (l’asepsie du lot doit être contrôlée biologiquement), d’où la nécessité de se constituer un stock de flacons d’avance au cabinet (assortiment de formules permettant de faire face à un grand nombre de situations urgentes).

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La législation de préparation des solutés injectables s’étant considérablement durcie ces dix dernières années, nous avons du renoncer à cette forme – pourtant élégante et d’action instantanée. Nous l’avons donc remplacé par :

  1. Des pulvérisations nasales, flacons isotoniques de 20 ou 30 ml pouvant contenir une à trois formules synergiques (aéropulseur de prescription magistrale).
  2. Des tubes granules (mode classique d’administration des remèdes). La forme granules est préparée classiquement et désignée sous le vocable « composé » (ex. « Natrum compositum » = « Na5 »). Vous avez intérêt aussi à constituer un petit stock au cabinet, car le laboratoire va demander quelques jours pour la préparation et il s’agit de formules pour l’urgence ! 

NB. Ne les prescrivez (ordonnance remise au patient) qu’en formules détaillées, sinon le pharmacien du quartier sollicité ne saura pas ce que vous souhaitez et vous risquez même d’être inquiété sous prétexte de « médecine secrète » !. 

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Pour obtenir un spectre d’action plus large, ces associations sont réalisées sur la base de :           

—>  Remèdes de la même classe biochimique (technique de Mercier, ex.: les principaux sels de Calcium, Magnésium, Potassium…),           

—>  Remèdes ayant la même polarité d’organe  (ex.: les cinq remèdes du territoire du nerf trijumeau, les trois remèdes des végétations adénoïdes …),           

—>  Remèdes se complétant dans leur action physiopathologique (ex.: Hepar sulfur et Silicea dans la suppuration). Il est possible, en fonction des exigences cliniques, d’utiliser plusieurs formules à la fois… en respectant dans le choix de ces différentes formules le tableau symptomatique individualisé. La première prise est généralement faite par le médecin (dentiste ou vétérinaire), les suivantes seront données au patient (granules ou aéropulseur).

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L’expérience nous a prouvé qu’il fallait – pour l’urgence – avoir sous la main une trousse d’urgence des CHU. C’est pourquoi nous organisons la diffusion, à partir d’un préparatoire pharmaceutique suisse, de trois trousses des tubes granules des formules CHU :

  1. Trousse praticien (Grande) – 36 formules, à choisir sur la liste des 50 formules disponibles (bon de commande à télécharger dans la « boutique »)
  2. Trousse patient (Petite) – 16 formules – dont les complexes de l’infectieux. Dans les formules exposées dans les chapitres suivants, nous signalerons la présence de ces formules dans les deux types de trousses (Petite/Grande).
  3. Trousse du dentiste – 9 formules (10 grands tubes), pour l’utilisation au cabinet.

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Bon de commande à télécharger : BonCommandeCHU

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