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La « mal-bouffe » ?

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Notre organisme subit quotidiennement de multiples agressions physiques et psychiques. Il est régulièrement « pollué  » par toutes sortes de substances néfastes à son bon fonctionnement. C’est la « mal bouffe » : trop de graisses, trop de sucre, alcool, etc. avec un apport insuffisant de nutriments et micro nutriments essentiels. Il doit supporter toutes sortes d’intoxications, pollutions et souvent le tabagisme (fumeur actif ou passif !).

La période actuelle favorise tous les types de stress: manque de sommeil, manque d’exercice physique, tous types de chocs émotionnels, etc… Il est en effet illusoire d’espérer traiter un dérèglement énergétique sans prendre en considération l’ensemble des causes et des paramètres qui ont engendré un tel « mal être ». Ces blocages empêchent la circulation énergétique, indispensable au bon équilibre de la vie.

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Les Français sont les champions du monde des buveurs de vin

Les Belges des mangeurs de frites (à la graisse de boeuf !)

Les Suisses des mangeurs de chocolat (12 Kg par an et par personne !)

 

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Les émulsifiants

Un produit censé “améliorer” votre nourriture est peut-être en train de vous ruiner la santé. Une étude réalisée par des scientifiques français, du laboratoire EREN-CRESS sur le lien entre la consommation d’émulsifiants et le risque de cancer. Environ 92 000 adultes, avec une moyenne d’âge de 45 ans, principalement des femmes (79%), ont indiqué en ligne tout ce qu’ils mangeaient et buvaient pendant au moins trois jours. Et après 7 ans de suivi, l’étude jette un pavé dans la mare : presque 100% des participants ont ingéré quotidiennement des émulsifiants nocifs.

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Les émulsifiants sont utilisés pour améliorer la texture des aliments et prolonger leur durée de vie. Vous les trouvez dans tous les produits ultra-transformés, qui composent 30% du régime des Français. Encore aujourd’hui, l’EFSA (European Food Safety Authority) délivre sans vergogne tous les certificats nécessaires pour que les industriels saturent leurs produits avec ces poisons.

Les autorités ne se doutent peut-être pas que les émulsifiants posent problème. Ou ne souhaitent pas mettre le frein à une économie profitable…. Allez savoir. Mais ces 3 dernières années, des études en laboratoire ont montré que ces additifs sont loin d’être anodins:

  • Ils dégradent la flore intestinale ; 
  • Ils génèrent des inflammations chroniques ; 
  • Ils participent au développement de la maladie de Crohn. 

Et la découverte de cette étude vient rajouter un chef d’accusation : ils augmentent le risque de cancer global (15%), et en particulier du sein (32%) et de la prostate (46%). Source : Sellem L, Srour B, Javaux G, Chazelas E, Chassaing B, et al. (2024) Food additive emulsifiers and cancer risk: Results from the French prospective NutriNet-Santé cohort. PLOS Medicine 21(2).

Mais si vous voulez mon avis, cela révèle tout de même l’importance de la santé de notre microbiote dans la réponse de notre au développement des cellules cancéreuses. Bien manger c’est le début…de la bonne santé ! 

Quand les industriels font leur travail, ils indiquent normalement les émulsifiants sur les étiquettes à l’aide des fameux chiffres précédés de la lettre E. Ceux que l’étude française pointe du doigt comme étant les pires sont les émulsifiants mono et diglycérides d’acides gras (E471), ainsi que les carraghénanes (E407 et E407a).

Prenons E471, un des émulsifiants les plus répandus, malgré sa toxicité. Voici une liste non-exhaustive de produits où vous le retrouvez6 :

  • Le pain, les viennoiseries industrielles, les gâteaux ou biscuits à consistance moelleux ou autres produits de boulangeries ; 
  • Les crèmes desserts ou autres produits laitiers où l’additif permet essentiellement d’obtenir une texture plus ferme et un taux de matière grasse plus faible ; 
  • Les corps gras tels que les huiles, les crèmes, les beurres végétaux, la mayonnaise ou autres sauces industrielles ; 
  • Le cacao et produits à base de chocolat ; 
  • La confiture industrielle ; 
  • Les céréales transformées ; 
  • Certaines préparations pour nourrissons ; 
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Mais ce ne sont pas les seuls émulsifiants dangereux. Prenez un pense-bête et notez la liste suivante, donnée dans l’étude également : 
  • Phosphates totaux (E339, E340, E341, E343, E450, E451, E452), 
  • Lactylates totaux (E481, E482), 
  • Esters polyglycériques totaux des AG (E475, E476), 
  • Mono et diglycérides totaux des AG (E471, E472, E472a, E472b, E472c, E472e), 
  • Celluloses totales (E460, E461, E464, E466, E468),
  • Carraghénanes totaux (E407, E407a),
 
  • Alginates totaux (E400, E401, E402, E404, E405),
  • Amidons modifiés totaux (E14xx).

La liste étant très longue, elle est dure à mémoriser. Et c’est un peu chronophage de devoir chaque fois vérifier les emballages…

Et pour rajouter à la difficulté, ces émulsifiants ne sont pas toujours clairement indiqués ! Les industriels se mettent à effacer leurs traces Après avoir consulté plusieurs produits issus de grande surface, je me suis rendu compte qu’ils préféraient mettre le nom complet de l’émulsifiant (par exemple “lécithine de soja”) plutôt que son matricule (dans ce cas, “E322”).
Ce qui fait de l’identification de ces poisons cachés un véritable travail de détective.
Le plus simple reste encore de privilégier les aliments naturels, bio, et locaux.
Des aliments comme le thé, le café, l’eau, la chicorée, le miel, etc. ne devraient pas non plus contenir d’émulsifiants.
Mais restez vigilants quand même, car l’industrie agro-alimentaire n’est jamais à court d’imagination pour berner le consommateur.

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LA DANGEREUSE SÉDUCTION DES ARÔMES INDUSTRIELS

L’alimentation prête à l’emploi pour autant qu’elle soit séduisante sous bien des aspects, cache mille pièges qui risquent de faire payer cher le plaisir et le confort apportés. Les arômes artificiels et édulcorants en sont les pierres d’achoppement. En effet, 2.700 substances servent en combinaison à créer 6.000 arômes artificiels faisant l’objet d’un total mystère et résistant la plupart du temps à l’analyse chimique en raison de leur complexité.

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POURQUOI DES ARÔMES ?

Il faut savoir que le premier résultat de la technologie alimentaire (à haute rentabilité) est de priver les aliments de leur goût. Les arômes viennent donc rattraper l’arrière goût désagréable de cette technologie alimentaire transformant en plat de régal des produits pratiquement immangeables. Pour appeler cela par leur nom : ce sont des trompeurs de goût.

Les promoteurs de cette industrie ne font aucune publicité et sont totalement inconnus du public bien que financièrement et politiquement très puissants. En particulier, le géant de cette industrie peu avouable puisqu’elle participe à rendre malade à long terme les consommateurs au travers de diverses pathologies dites de civilisation (obésité, allergies, dérives génétiques, cancers, problèmes neurologiques…) s’appelle IFF. L’adresse de son siège social : 521 West 57th street New York, NY 10019. Son rayonnement : la planète entière.

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QUELQUES EXEMPLES D’APPLICATIONS

Le brevet IFF n° 4.988.532 protège un procédé qui élimine l’arrière goût des édulcorants artificiels tout en renforçant leurs effets et dissipe l’amertume des soupes industrielles. Cela réjouit les fabricants, alors qu’il s’agit d’un produit douteux pour l’organisme en font les frais.

Par exemple un bouillon de poule au vermicelle de Knorr ne contient que 2g de « poule séchée » sous forme de granulés, soit à peine 7g de poule en chair et en os. Evidemment, aucun cuisinier au monde ne pourrait produire par miracle quatre assiettes de bonne soupe avec si peu. Mais Knorr réussit ce tour de passe-passe : il suffit d’un gramme « d’arôme » industriel. Si cela ne donne pas un véritable bouillon de poule, cela permet quand même d’obtenir une « solution comparable », selon les mots d’un chimiste de Knorr. Prix : 69 centimes d’euros.

Maggi ne fait pas autre chose : son « bouillon de bœuf » contient 2,3 g. de graisse de bœuf et au plus 0,67 g. d’extrait de viande par litre. L’étiquette révèle que l’essentiel du bouillon est constitué d’autre chose : du sel iodé, de l’arôme, de l’exhausteur de goût (glutamate de sodium, E 631, E 627). Si l’on y réfléchit, il est osé, pour être honnête, de baptiser ce produit d’après les infimes traces d’extrait de viande qu’il contient : il devrait porter le nom de « bouillon à l’exhausteur de goût, à l’arôme et au sel iodé. »

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Oui, la soupe ment. Le pain du boulanger n’est plus tout à fait honnête non plus, ni le petit pain, ni même le gâteau. Même la baguette, les brioches et les croissants, si chers aux Français, doivent leur saveur à l’habileté des chimistes. La firme Philxn de Pont de Veyle vend une gamme d’arômes destinés à ces produits. Comme le dirigeant de l’entreprise l’expliquait au cours d’une foire professionnelle, le temps de cuisson est si court de nos jours que le goût de grillé n’a plus le temps de se former. Une pincée de sa poudre règle le problème comme par miracle. Comment est-elle produite ? C’est un secret !

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De la même manière, celui qui veut égayer sa journée avec verre de vin avale peut-être bien des illusions. Depuis 2002, la société suisse Stiernon vend un produit nommé « Oxylent » censé imiter une saveur de grand cru mûri en fût. Cela fait la joie des fraudeurs, qui peuvent vendre cher leur marchandise fabriquée à moindre coût : 4 grammes suffisent pour aromatiser 100 litres. La première année, Stiernon a vendu environ 5 tonnes de son produit et 15 tonnes l’année suivante, en France, en Espagne, en Italie, au Portugal, en Australie, aux Etats-Unis, au Chili, en Afrique du Sud, en Nouvelle Zélande, et en Argentine. Mais, le patron de l’entreprise ne veut pas communiquer les noms de ses clients : « les entreprises viticoles veulent garder leur secret. »

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L’Union Européenne consomme chaque année 170 000 tonnes d’arômes industriels, auxquels il faut ajouter les 95 000 tonnes du célèbre glutamate (exhausteur de goût), ce qui fait que la moitié des produits alimentaires sont actuellement aromatisés artificiellement.

Curieusement, en dépit des temps de loisirs accrus pour la plupart des consommateurs, ceux ci boudent le fourneau et apprécient de plus en plus les aliments industriels. Aussi, selon la Deutsche Presse, près de 40 % de personnes ne savent plus cuisiner. Dans une seule génération, on risque d’avoir oublié tous les tours de main de cuisine transmis depuis des siècles par nos ancêtres. Aux USA, 95 % des denrées sont industrielles. Les plats cuisinés sont relayés au musée. On dit plaisamment que les américains savourent deux fois plus souvent la pizza que les délices sexuels !

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Alimentation

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L’APPETISSANTE TARTE AUX CERISES … DU SUPERMARCHÉ ?

VOYONS D’ABORD LA PÂTE :

La farine provient de grains de blé qui préalablement ont été enrobés d’un fongicide avant semis. Pendant sa culture, le blé a copieusement reçu des pesticides, des hormones de synthèse, et bien sûr des engrais chimiques. Après récolte, les grains sont fumigés au tétrachlorure de carbone et au bisulfite de carbone, puis arrosés au lopyriphosméthyl. Ensuite la farine reçoit du chlorure de nitrosyl, puis de l’acide ascorbique. Pour faire lever la pâte, la poudre levante est traitée au silicate de calcium, et l’amidon est blanchi au permanganate de potassium. La pate reçoit aussi de l’hydroxytoluène de butyl – un antioxydant (pour éviter le rancissement)… BEURK !

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CONCERNANT LA CREME PATISSIERE:

Les œufs (qualité FR 3) proviennent d’un élevage industriel concentrationnaire où les poules confinées dans des cages métalliques sont nourries avec des granulés contenant des antioxydants (E300 à E311), des émulsifiants (alginate de calcium), des conservateurs (acide formique), des colorants (capsa théine) des agents liants (ignosulfate) et enfin des appétants (glutamate de sodium) pour qu’elles puissent avaler toutes ces saloperies. Elles reçoivent aussi des antibiotiques, et surtout des anticoccidiens. Les œufs, avant séchage, reçoivent des émulsifiants, des agents actifs de surface comme l’acide cholique et une enzyme pour éliminer le sucre du blanc… reBEURK !

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Le lait provient d’un élevage industriel où les vaches reçoivent une alimentation pleine de produits chimiques tels que : flavophospholipol (F712), ascorbate de sodium (F301), alphatocophérol de synthèse (F307), buthyl-hydrox-toluène (F321), alginate de propylène- glycol (F405), acide tartrique (E334), acide propionique (F280), azotés chimiques (F801), des colorants, et enfin des appétants comme le glutamate de sodium… rereBEURK !

Les huiles, ont été extraites par des solvants comme l’acétone, puis raffinées par action de l’acide sulfurique suivi d’un lavage à chaud, puis neutralisées à la lessive de soude, ensuite décolorées au dioxyde de chlore ou au bichromate de potassium et désodorisées à 160°C avec du chlorure de zinc. Enfin, elles sont recolorées à la curcumine. La crème de la tarte, une fois fabriquée, reçoit des arômes et des stabilisants comme l’acide alginique (E400)… rerereBEURK !

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VOYONS MAINTENANT LES CERISES

Elles ont reçu entre 15 et 40 traitements de pesticides selon les années. Elles sont décolorées à l’anhydride sulfureux et recolorées de façon uniforme à l’acide carminique ou à l’érythrosine. Elles sont ensuite plongées dans une saumure contenant du sulfate d’aluminium, et à la sortie, reçoivent un conservateur comme le sorbate de potassium (E202). Enfin, elles sont enduites de sucre raffiné qui provient de betteraves ayant reçu leur dose d’engrais et de pesticides. Ce sucre est extrait par traitement à la chaux et à l’anhydride sulfureux, décoloré au sulfoxylate de sodium, puis raffiné au norite et à l’alcool isopropylique. Enfin il est azuré au bleu anthraquinonique. Par ces traitements, les cerises ayant donc perdu tout leur goût, il est nécessaire d’ajouter un parfum artificiel alimentaire. Ce parfum est une recréation synthétique du goût et de l’odeur à partir d’éléments artificiels issus de la chimie du pétrole. Le parfum artificiel de cerise se compose du cocktail de molécules synthétiques suivant : acétate d’éthyle– acéthyl méthylcarbinol – butyrate d’isoamyle – caproate d’éthyle – caprylate d’isoamyle – caprate d’éthyle – butyrate de terpényle – géraniol – butyrate de geranyl – acétylacetate d’éthyle – heptanoate d’éthyle – aldéhyde benzoïque – aldéhyde p-toluique (le dernier ferme la porte !)… BEURK, BEURK, BEURK !!!

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CONCLUSION :

Ne cédez pas à la tentation de la facilité, faites plutôt vos tartes vous-même avec des produits « honnêtes » ; çà n’est pas si compliqué, il y a des tas de bonnes recettes de grands-mères sur Internet, qui mettent la joie dans la maison, et où la gourmandise n’est plus un suicide au détail !

Source des données techniques : Claude Bourguignon (cet ingénieur agronome spécialiste de la microbiologie des sols, issu de l’INRA – qu’il quitta pour cause de désaccord – dénonça officiellement pour la première fois que les sols cultivés à grand renfort d’engrais chimiques et de pesticides ne recelaient plus aucune vie bactériologique, ni animale (vers de terre – larves – insectes…).

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Manger trop de sucre est vraiment mauvais pour la santé. Cela entraîne un risque accru de nombreuses maladies, dont l’obésité, les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2 ainsi que le cancer. Beaucoup de gens essaient donc de réduire leur consommation de sucre, mais sous-estiment encore la quantité qu’ils consomment réellement…

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De nombreux aliments contiennent en effet des sucres cachés, y compris ceux que vous ne considéreriez même pas comme sucrés. Même les produits commercialisés comme «légers» ou «faibles en gras» contiennent souvent plus de sucre.

Sans plus attendre, voici 17 aliments et boissons qui contiennent beaucoup plus de sucre que vous ne le pensez.

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La soupe

Ce n’est pas un aliment que vous associez généralement au sucre. Lorsqu’elle est faite avec des ingrédients entiers et frais, c’est un choix sain et un excellent moyen d’augmenter votre consommation de légumes sans trop d’effort.

Les légumes dans les soupes contiennent des sucres d’origine naturelle, qui sont bons à manger étant donné qu’ils sont généralement présents en petites quantités avec de nombreux autres nutriments bénéfiques.

Cependant, de nombreuses soupes préfabriquées et vendues dans le commerce contiennent beaucoup d’ingrédients ajoutés, y compris du sucre. Pour vérifier les sucres ajoutés dans ce type de soupe, regardez  la liste des ingrédients et vérifiez les noms tels que :

  • Saccharose 
  • Malt d’orge 
  • Dextrose 
  • Maltose 
  • Sirop de maïs à haute teneur en fructose (SGHF) et autres sirops.

Plus un ingrédient est cité en premier, plus sa teneur est élevée. Faites attention aux marques qui listent de petites quantités de sucres différents, car c’est un autre signe que le produit pourrait être très riche en sucre.

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Les haricots en conserve

Les « fèves au lard » en conserve sont un autre aliment savoureux, mais qui est souvent étonnamment riche en sucre. Une tasse (254 grammes) de fèves au lard ordinaires contient environ 5 cuillères à café de sucre. Si vous aimez les fèves au lard, vous pouvez choisir des versions à faible teneur en sucre. Ils peuvent contenir environ la moitié de la quantité de sucre trouvée dans les fèves au lard ordinaires.

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Les différents labels « bio » 

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La sauce à spaghettis

Les sucres ajoutés sont souvent cachés dans les aliments que nous ne considérons même pas comme sucrés, comme la sauce à spaghetti. Toutes les sauces à spaghetti contiennent du sucre naturel étant donné qu’elles sont faites avec de la tomate. Mais de nombreuses sauces à spaghetti contiennent également du sucre ajouté.

La meilleure manière de vous assurer que vous ne consommez pas de sucre indésirable dans votre sauce pour pâtes est de la faire vous-même. Cependant, si vous devez en acheter, vérifiez l’étiquette du produit et choisissez-en une qui n’a pas de sucre sur la liste des ingrédients ou qui n’en contient que très peu. 

Le « ketchup » est l’un des condiments les plus populaires au monde, mais il est souvent riche en sucre. Soyez raisonnable sur la proportion lorsque vous l’utilisez, car une seule cuillère à soupe de ketchup contient près de 1 cuillère à café de sucre.

La « sauce barbecue » (BBQ) peut composer une délicieuse marinade. Cependant, 2 cuillères à soupe (environ 28 grammes) de sauce peuvent contenir environ 9 grammes de sucre. Cela vaut plus de 2 cuillères à café.

De plus, environ 33% du poids de la sauce BBQ peut être du sucre pur. Pour vous assurer que vous n’en consommez pas trop, vérifiez les étiquettes et choisissez la sauce avec le moins de sucre ajouté. N’oubliez pas non plus de réduire les proportions comme avec le ketchup.

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Les jus de fruits

Comme les fruits entiers, les jus de fruits contiennent des vitamines et des minéraux. Cependant, même s’ils semblent être un choix sain, ces vitamines et minéraux sont livrés avec une grande dose de sucre et très peu de fibres.

Il faut généralement beaucoup de fruits pour produire un seul verre de jus de fruits, vous obtenez donc beaucoup plus de sucre dans un verre de jus que vous n’en obtiendriez en mangeant des fruits entiers.

Il peut y avoir autant de sucre dans un jus de fruit que dans une boisson sucrée comme le coca. Les mauvais résultats sur la santé qui ont été liés de manière convaincante au soda peuvent également être liés aux jus de fruits. Préférez donc des fruits entiers et réduisez votre consommation de jus de fruits.

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Les céréales pour le petit déjeuner

Les céréales sont un petit-déjeuner populaire, rapide et facile. Cependant, les céréales que vous choisissez pourraient affecter considérablement votre consommation en sucre, surtout si vous en mangez tous les jours.

Certaines céréales pour petit-déjeuner, en particulier celles qui sont dédiées aux enfants, contiennent beaucoup de sucre ajouté. Certains contiennent 12 grammes, ou 3 cuillères à café de sucre dans une petite portion de 34 grammes. Dans ce cas, vérifiez l’étiquette et essayez de choisir une céréale riche en fibres et sans sucre ajouté.

Mieux encore, réveillez-vous plus tôt le matin et préparez un petit-déjeuner sain et rapide avec un aliment riche en protéines comme les œufs.

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Les yaourts écrémés

Le yaourt peut être très nutritif. Cependant, tous les yaourts ne sont pas fabriqués de la même manière. Comme beaucoup de produits à faible teneur en matières grasses, les yaourts à faible teneur en matières grasses contiennent du sucre ajouté pour rehausser leur goût.

Par exemple, une seule tasse (245 grammes) de yaourt faible en gras peut contenir plus de 45 grammes de sucre, soit environ 11 cuillères à café. C’est plus que la limite quotidienne pour les hommes et les femmes dans une seule tasse de yogourt «sain».

De plus, le yaourt faible en gras ne semble pas avoir les mêmes avantages pour la santé que le yaourt entier. Préférez donc un yaourt entier, naturel ou grec et évitez le yaourt sucré.

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Les « boissons pour sportifs »

Les boissons pour sportifs ou boissons énergétiques peuvent souvent être considérées comme un choix sain pour ceux qui font de l’exercice. Cependant, elles sont conçues pour hydrater les athlètes entraînés à des exercices prolongés et intenses. C’est pourquoi elles contiennent de grandes quantités de sucres ajoutés qui peuvent être rapidement absorbés et utilisés pour avoir plus d’énergie.

Une bouteille de 591 ml de boisson pour sportifs contient 37,9 grammes de sucre ajouté et 198 calories, ce qui équivaut à 9,5 cuillères à café de sucre. Les boissons pour sportifs sont donc classées comme boissons sucrées. Comme le soda et les jus de fruits, elles ont également été liées à l’obésité et aux maladies chroniques.

À moins que vous ne soyez un coureur de marathon ou un athlète professionnel, contentez-vous de boire de l’eau durant vos exercices. C’est de loin le meilleur choix de boisson.

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Le « thé glacé »

Le thé glacé est généralement sucré avec du sucre ou aromatisé avec du sirop. Il est présenté sous diverses formes et saveurs à travers le monde, ce qui signifie que la teneur en sucre peut varier légèrement.

La plupart des thés glacés vendus sur le marché contiennent environ 35 grammes de sucre par portion de 340 ml, à peu près la même quantité qu’une bouteille de coca. Si vous aimez le thé, choisissez du thé ordinaire ou du thé glacé sans sucre ajouté.

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Vérifiez les provenances :

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Et les délais de conservation :

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