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Vaccins:non

Ci-dessus : les enfants vaccinés ont de 2 à 5 fois plus de pathologies que les enfants sans vaccin ! (ref. Institut Koch)

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Epidémiologie, quelques observations :

— Une explosion de cas d’oreillons, malgré des taux de vaccination élevés ? Or 75 % des enfants qui l’ont contracté avaient été vaccinés.

— En Suisse en 1994,1995 et 1999, 1 000 personnes ont contracté les oreillons, avec des taux de vaccination de plus de 95 % dans tout le pays. Parmi les personnes touchées, 78 % étaient vaccinées et ont quand même contracté la maladie.

— En 1996, il y a eu 2 778 cas de coqueluche aux Pays-Bas, malgré un taux de vaccination de 96 %. Parmi les personnes touchées, 89 % des enfants étaient dûment vaccinés.

— Depuis l’introduction de la vaccination contre la méningite, les cas de maladie et la fréquence de la maladie ont augmenté de 40 %.

— En 2001 en Afrique, après le DTC (vaccination contre la polio) la mortalité infantile a été deux fois plus élevée.

— En 2005, il y a eu 33 décès de nourrissons après une vaccination sextuple avec Hexavac.

— En 2009, 1 470 cas de complications vaccinales ont été signalés, dont 83 décès après la deuxième vaccination sextuple avec Infanrix hexa.

Des chiffres relevés sur www.kla.tv/15294

NOTA : Savez-vous que les grands labos ont réussi à faire voter une loi américaine leur garantissant l’immunité juridique en cas de complications conséquentes, même graves, même mortelles – ceci n’empêche pas que l’on vous oblige à accepter par ignorance ce contrat pourri, que vous n’accepteriez jamais pour l’achat de n’importe quel matériel du commerce. Et vous trouvez cela normal, de plus pour vos enfants ?

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Remèdes homéopathiques des « suites de vaccinations« :

Cette rubrique est tirée d’un article de 1982, du dr. Georges Demangeat. Elle décrit surtout les problèmes posés par la vaccination anti-variolique (à présent abandonnée) et par le BCG (qui est aussi en passe d’être abandonné). Les réflexions qui en découlent peuvent néanmoins être transposées aux divers autres vaccins.

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« La routine conduit trop souvent à limiter le choix des remèdes des suites de vaccinations à un seul remède, voire exceptionnellement à deux ou trois. L’extension impropre du terme « vaccination » à toutes les pratiques d’immunisation, les théories plus ou moins spécieuses avides de profiter de cette confusion du didactique, élèvent, entre la véritable prescription homéopathique et la pratique journalière, une confusion chaque jour plus impénétrable. La vaccination est l’inoculation de la vaccine, maladie éruptive et contagieuse chez les bovidés, encore appelée « Cow-Pox ». Elle est transmissible à l’homme par inoculation. Celle-ci peut-être accidentelle ou provoquée par des nécessités thérapeutiques ou préventives. La vaccine accidentelle, La Picote, déterminée par l’inoculation fortuite de Cow-Pox ne diffère pas de la vaccine thérapeutique. L’une comme l’autre provoque une malade éruptive qui évolue, classiquement, en un cycle vaccinal de cinq phases : incubation, invasion, suppuration, scarification, cicatrisation. Il est nécessaire de bien connaître ce cycle vaccinal pour déterminer le choix des remèdes homéopathique à chacune de ces périodes.

La symptomatologie sera déterminante de ce choix. Après une vaccination ou une inoculation accidentelle, le premier jour n’apparaît qu’une réaction traumatique qui atteint en quelques heures son maximum et disparaît en un jour. Le deuxième et le troisième jour le foyer vaccinal est silencieux, représenté par un simple trait hématique. A la fin du troisième jour apparaît une maculo-papule qui se développe jusqu’au sixième jour. Cette papule augmente de volume et de surface et prend une teinte rougeâtre de plus en plus étendue. A la fin du sixième jour, la lésion jusqu’ici simple et homogène subit une différenciation qui la divise en deux zones :

– la zone centrale est constituée par une vésicule transparente de teinte bleu nacré, puis opaline,

– la zone périphérique, aréolaire sertit d’un liseré rouge ou rosé de deux millimètres environ la zone centrale.

 

L’ensemble repose sur une base indurée. A la fin du huitième jour, la pustule est à maturité. Elle a pris une teinte plus foncée, grisâtre, et sépia au centre. Elle est limitée par un contour arrondi, parfois même bosselé. Le bord de la lésion est dur et surélevé. Alors que la zone centrale subit une évolution progressive, la zone aréolaire inflammatoire, réduite jusque-là à un simple liseré, à la fin du huitième jour s’étend de façon soudaine et dans des proportions considérables. Plusieurs éléments peuvent se rejoindre, dessinant à la limite du tégument sain des bords déchiquetés. Parfois ceux-ci se prolongent en traînées inflammatoires lymphangitiques, compliquées de la tuméfaction douloureuse des ganglions du territoire intéressé. L’adénite régresse, mais il n’est pas rare qu’un ganglion, un peu volumineux et un peu plus sensible que normalement, persiste à l’aine pendant quelques semaines chez les nourrissons vaccinés au pied. Les ouvrages classiques ne font pas mention des adénites que l’on peut observer et qui persistent plusieurs années après la vaccination. La dessiccation de la pustule commence vers le quinzième jour. Le centre devient brunâtre, se flétrit.

 

Au quinzième jour, l’escarre s’étend à toute la zone centrale entourée d’un mince bourrelet plus ou moins inflammatoire. Au bout de trois à quatre semaines, I’escarre tombe et laisse une cicatrice indélébile.

 

Cette évolution, normale, s’accompagne de signes généraux « bénins » : élévation de température, le quatrième et le plus souvent le sixième jour, à forme rémittente, avec accélération du pouls, contemporaine de malaises (plus ou moins intenses), insomnie, agitation anorexie, selles plus fréquentes, parfois diarrhée granuleuse ou liquide, verdâtre. Nous ne signalerons qu’en passant les signes biologiques qui n’ont aucun intérêt pour le choix de nos remèdes : leucopénie, puis hyperleucocytose à mononucléaires, présence de virus dans le sang, dans les sécrétions amygdaliennes et pharyngées. Les amygdales peuvent être normalement le siège d’une inflammation : l’angine vaccinale. Normalement encore, la maladie vaccinale s’accompagne de signes fonctionnels : démangeaisons, douleurs d’autant plus vives que l’inflammation et l’adénite sont plus intenses.

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Tels sont les symptômes d’une vaccination normale, chez un sujet réceptif inoculé pour la première fois. Cependant certaines formes cliniques, dépendant du terrain ou des associations morbides et des formes compliquées doivent être connues. La vaccine peut-être anormale par l’étendue de son éruption. La forme généralisée d’emblée, qui est rare, est caractérisée par un exanthème généralisé uniforme. La fièvre est proportionnée à l’étendue de l’éruption. Elle s’accompagne souvent de signes généraux intenses, parfois de signes infectieux et hémorragiques. Pour les auteurs classiques, cette forme dépendrait de la réceptivité de l’organisme inoculé, autrement dit du terrain et de la dose et du mode d’inoculation du vaccin. La forme généralisée secondaire est plus fréquente. Elle est caractérisée par un exanthème polymorphe dont les éléments ont un âge différent. Il peut exister, comme point de départ, une inoculation secondaire par grattage ou griffure. Elle peut s’accompagner de kératite vaccinale accidentelle, même chez le sujet immunisé, le tissu cornéen ne participant à cette immunité. Les formes compliquées d’une infection secondaire cutanée représentent toutes les formes possibles d’éruptions cutanées : pemphigoïdes, bulleuses, polymorphes, dermite, abcès, ou d’infection tissulaire : adéno-phlegmon, phlegmon diffus, septicémie. On peut encore observer un érésipèle vaccinal, des accidents toxiques.

 

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Les formes compliquées d’accidents nerveux sont les plus graves, et il n’est que de rappeler l’encéphalite vaccinale, encéphalomyélite mortelle dans 30 à 50 % des cas suivant les auteurs. Elle laisse trop souvent persister des séquelles psychomotrices extrêmement graves définitives. La myélite post-vaccinale qui atteint les cornes antérieures (forme poliomyélitique) est suivie de troubles paralytiques des membres inférieurs. Les formes méningées, les formes polynévritiques seraient exceptionnelles, heureusement. De celle-ci j’apporterai tout à l’heure un cas guéri, mais certainement pas par THUYA qui n’était nullement indiqué.

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Cette longue énumération de symptômes montre d’abondance qu’à ce stade la vaccination ne saurait être homéopathiquement couverte par le choix réduit à un seul remède. Pour les classiques de la médecine officielle, la maladie vaccinale s’arrête à ce stade. Elle n’a d’autre résultat pour l’organisme que de laisser une cicatrice blanche, indélébile, parfois gonflée et même chéloïdienne et d’assurer une immunité plus ou moins durable, à la fois contre la vaccine et contre la variole.

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S. HAHNEMANN lui-même, non plus que ses premiers disciples, ne semblent avoir soupçonné les conséquences lointaines que pouvait amener une pratique vaccinale extensive. Il n’y vit, semble-t-il qu’un moyen de prouver la loi homéopathique. Il détaille longuement ses observations dans de nombreuses notes de l’Organon. Il dit aussi le bienfait qu’elle apportait à l’humanité. Sans doute, ne pouvait-il, en ce temps là, prévoir plus loin. Au paragraphe 46 de l’Organon, en particulier, dans la note h (6ème édition), il écrit : « Le fait que la vaccine diminue et adoucit homéopathiquement la variole paraît être la cause bienfaisante et remarquable, depuis la généralisation de la vaccination de JENNER du déclin du génie épidémique et de l’atténuation de la malignité variolique d’il y a quarante au cinquante ans. A cette époque, une ville envahie par ce lamentable fléau perdait au moins la moitié et souvent les trois quarts de ses enfants. » Il convient de rappeler ce paragraphe, d’une part parce qu’il montre qu’à une période, sans doute révolue, la vaccination jennérienne ne fut pas sans utilité incontestable, d’autre part, par ce que l’homéopathicité de la variole et de la vaccine est une extension de la loi homéopathique qui fut bien vite contestée. Enfin, il faut retenir, comme le montre Constantin HERING, qu’à cette époque la vaccination ne semblait pas avoir les conséquences désastreuses qui furent observées plus tard. La 6ème édition de l’Organon fut écrite en effet en 1842, cinquante ans environ après la découverte de JENNER.

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Quarante ans plus tard, HERING écrit dans sa 4ème édition de « Médecine Homéopathique domestique » : « La maladie du pis de la vache fut considérée par eux (HAHNEMANN et ses disciples) comme une maladie semblable à la petite vérole. Mon opinion diffère un peu. Il n’y a d’indication franchement orthodoxe que celle qui se tire de la similitude des symptômes fournis d’une part par la maladie, et de l’autre par l’action pathogénésique des remèdes. Or je n’ai jamais vu dans le vaccin qu’une action toxique, même lorsqu’elle se termine favorablement... ». Voici pour l’homéopathicité. En ce qui concerne les conséquences lointaines de la vaccination, nous lisons dans le même ouvrage, un peu plus loin : « Dans une durée de vingt ans, les trois faits suivants ont été mis hors de doute :

1 – La vaccine préserve de moins en moins chaque année de la petite vérole, que celle-ci ait conservé son vrai nom ou qu’elle ait changé.

2 – La vaccine est suivie de malaises qui deviennent de plus en plus fréquents, débutent avec gravité et brusquement, durent longtemps et sont difficiles à guérir.

3 – Nous apprenons d’année en année à guérir avec plus de certitude les varioleux par la méthode homéopathique« .

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Ces malaises, dont parle HERING, BURNETT devait les étudier longuement et montrer que la toxine vaccinale est capable d’engendrer un état d’une chronicité extrême. Il a appelé cet état vaccinose. Cette vaccinose peut être provoquée sans évolution aiguë préalable, c’est à dire quand, apparemment, la vaccination « ne prend pas ». Les symptômes de la vaccinose sont protéiformes et sont pour la plus grande partie identiques aux symptômes de la sycose d’HAHNEMANN. La vaccinose est donc une maladie sycotique.

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Cependant, cette sycose vaccinale ne serait pas une fatalité, GRAUVOGL parle de la constitution hydrogénoïde dans laquelle le poison gonococcique agit avec le plus de violence. Si quelqu’un ayant cette constitution contracte la maladie, il est plus apte à garder l’infection constitutionnelle. La vaccination est particulièrement dangereuse pour cette constitution. FARRINGTON affirme : « Quand vous trouvez un malade souffrant de la vaccination, le virus étant pur, vous pouvez compter que le malade appartient à la constitution hydrogénoïde« .

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BURNETT d’ailleurs, dans son ouvrage « La vaccinose et sa guérison par THUYA », entend bien par vaccinose la maladie désignée sous le nom de vaccine, c’est à dire la maladie aiguë, plus « un état constitutionnel profond et souvent extrêmement prolongé engendré par le virus vaccinal ». L’action antivaccinale de THUYA OCC. représente une partie de son action sycotique. L’action antivaccinale de THUYA a été montrée par KUNKEL et GOULLON qui se sont inspirés de l’expérience de BOENNINGHAUSEN dans le traitement da la petite vérole. Celui-ci trouvait l’indication homéopathique de THUYA dans les symptômes représentés par la diarrhée et par des pustules très grandes. Il le donnait dès que les vésicules commençaient à devenir pustule, et il disait avoir empêché les cicatrices.

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Par la suite, après BURNETT, la plupart des auteurs ont repris son travail sur THUYA et la vaccination. Des exemples innombrables de l’action de ce remède figurent dans toutes les matières médicales. Ils y figurent à juste titre, parce que les cas présentés ont les symptômes du remède. La vaccinose est justiciable de THUYA quand le malade présente ce que l’on trouve dans la pathogénésie de THUYA : la diarrhée de THUYA, les sécrétions de THUYA, les condylomes de THUYA, la sueur caractéristique, l’état psychique particulier, etc… Mais peu à peu, il semble que l’on ait oublié que sélectionnés suivant leurs symptômes tous les remèdes de la sycose peuvent avoir une indication pour les suites chroniques de la vaccination.

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Vac1                                                                                                  Propagande anti-vaccinale (début du XX siècle)

Puis, par une extension abusive, des auteurs ont voulu voir dans tout ce que l’on appelle improprement « vaccination », c’est à dire les injections de bacilles ou de virus tués ou atténués, les ingestions de ces mêmes germes et de ces mêmes virus, les injections d’anatoxine, voire de sérums, ont voulu voir là l’origine d’une sycose chronique. Je pense que loin d’éclaircir la pratique de l’homéopathie, ceci ne peut que l’embrouiller. Il convient d’éviter aujourd’hui autant qu’hier le domaine spéculatif et de se garder d’oublier, si faire se peut, car S. HAHNEMANN lui-même semble avoir commis l’erreur, que la loi de similitude repose sur la comparaison des symptômes du malade avec les symptômes pathogénésiques des remèdes. C’est ce qu’a bien mis au point HERING. Si l’on admet, en parlant vaccination, que toutes les méthodes proposées pour immuniser un individu à partir de permes ou de virus ont ce nom, je donnerai un exemple de guérison spectaculaire d’un accident de vaccination par le B.C.G., sans discussion théorique, par la seule observation de la loi de similitude.

Dans son Répertoire de Matière Médicale Homéopathique, KENT cite neuf remèdes pour les suites de vaccination. Ces remèdes peuvent être aussi bien indiqués pour la période aiguë, la vaccine, que pour la période chronique, sycotique, la vaccinose de BURNETT. Il convient de les choisir suivant leurs symptômes, et non parce qu’ils sont notés dans le Répertoire. Il est remarquable de constater que KENT ne fait nulle part allusion à la vaccination dans sa Matière Médicale. La liste de KENT est très incomplète. La lecture de matières médicales pathogénésiques diverses fait découvrir une bonne trentaine de remèdes homéopathiques à la seule vaccine, à ses complications ou à ses accidents.

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Pro-science

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HAHNEMANN lui-même proposait de donner à chaque enfant vacciné une dose de SULFUR aussitôt après la formation de la pustule, et si l’éruption venait à se multiplier sur le corps lorsque la pustule était déjà sèche, il en donnait une nouvelle dose. C’était assez systématique. SULFUR n’est homéopathique qu’à certains aspects de la maladie.

HERING proposait ACONITUM dans la fièvre consécutive à la vaccination, « si elle est mauvaise comme cela se voit quelquefois ». « Le meilleur remède, écrit-il, confirmé par des centaines de cas, contre les mauvaises suites du virus vaccin est SILICEA« . Il le donnait s’il y a des éruptions éparses çà et là, dans les glandes engorgées des aisselles, dans les boutons de la tête ; pour les engorgements rouges, enflammés et suppurants, situés aux bras et s’étendant quelquefois à l’articulation des épaules, qui souvent, dit-il, mettent les enfants en péril, ainsi que dans les souffrances de longue durée : fièvre hectique avec sueurs nocturnes, dartres épaisses, boutons rouges à la figure et surtout au cou, et même avec convulsions qui se déclarent une ou deux semaines après l’opération ; ainsi que dans l’épanchement aiguë qui succède au dessèchement de la pustule. « Pour ces divers cas, il suffira d’une seule dose, il est rarement nécessaire de la répéter. »

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Nous devons conserver à SILICEA toute sa faveur. Ce remède est particulièrement indiqué chez les enfants malingres, chétifs, sujets aux adénopathies. Les rhino-pharyngites chroniques et récidivantes, les coryzas jamais guéris, les otites à répétition que les pédiatres de la vieille école attribuent comme nous-mêmes au vaccin, trouvent là un remède de choix. C’est – Je l’avance avec quelque réticence après l’avis donné par tant d’homéopathes chevronnés qui ont écrit de THUYA – C’est ce remède que j’ai trouvé le plus souvent indiqué par ses symptômes et il ne m’a jamais déçu. Cependant, il est sage de tenir compte d’indications précises qui soulignent le choix d’un remède autre que les quatre déjà cités.

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Si un oedème important accompagne la réaction locale, et si les symptômes concordent l’indication d’APIS doit être envisagée.

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Si les vésicules sont larges et que toute la région devient très rouge, BELLADONA trouve son indication. Les symptômes généraux du remède doivent être présents.

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L’éruption qui s’accompagne d’un érysipèle, ou l’éruption de pustules vaccinales généralisées à tout le corps appelle VACCININUM dont tous ces symptômes sont pathogénétiques. VARIOLINUM est assez semblable à VACCININUM.

Quand le pus s’est formé sous la pustule, il faut étudier MERCURIUS SOLUBILIS. Il faut aussi y penser dans l’amygdalite vaccinale.

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SCHUSSLER écrit que si des ennuis surviennent après une vaccination KALIUM MURIATICUM donnera toute satisfaction. Il est homéopathique à la lésion vaccinale à la deuxième période de maculo-papule, vers le sixième jour de la vaccination, en raison de l’infiltration oedémateuse et de la fièvre qui l’accompagne.

MALANDRINUM, cité au 3ème degré dans le Répertoire de KENT, est le nosode de la Horse-Pox, maladie du cheval, semblable à la Cow-Pox. La pustule prend un aspect de malignité. Elle ne cicatrise pas. Elle peut-être impétiginisée. Toute la peau du corps reste malsaine, sèche et rêche longtemps après une vaccination. D’après BOERICKE, MALANDRINUM aurait un rôle prophylactique contre la variole.

Il convient de ne pas négliger MEZEREUM (hg) exactement indiqué si la pustule ulcérée, entourée d’une aréole enflammée, est hypersensible et saigne quand on enlève le pansement, les douleurs sont piquantes, ou brûlantes et élançantes, aggravées la nuit.

Avec HEPAR SULFUR (ca) les douleurs sont intolérables du fait de l’hypersensibilité au moindre attouchement. Il faut citer encore KALIUM CHLORATUM, dont la pathogénésie est souvent confondue avec celle de KALI MURIATICUM.

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ECHINACEA ANGUSTIFOLIA (ge) qui présente de petites papules s’étendant à tout le corps et dont les signes généraux rappellent BAPTISIA (as). Si une éruption eczémateuse apparaît au cours de la vaccine, il sera difficile, je le crains, de trouver chez nos pharmaciens les dynamisations homéopathiques au cas, de CROOKUM CHUCK, une eau médicinale lacustre des Etats-Unis.

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Je n’aurais garde d’oublier de vous signaler la valeur d’ARSENICUM ALBUM quand les pustules sont douloureuses et noirâtres, brûlantes, s’emplissent de sang et de pus, évoluent vers l’ulcération. Ce remède m’a donné une très grande joie. Il s’agit d’un cas très rare de polynévrite vaccinale. Le 8 Juin 1954, je suis appelé à visiter à 80 km de mon domicile le jeune René G…, alors âgé de 11 ans. Bien portant jusque là, il est alité depuis cinq semaines et rentre d’un séjour dans le service du Pr. DECHAUME. Trois semaines après une revaccination antivariolique qui a bien pris, il a présenté une paralysie ascendante. Cela a commencé par des douleurs dans les jambes, puis il lui a été impossible de monter les escaliers. Rapidement, il n’a plus pu marcher. Les jambes se sont paralysées progressivement, puis les cuisses. Le jour où je l’examine, la paralysie gagne les membres supérieurs. Elle est accompagnée de douleurs extrêmement vives, brûlantes. Il crie si on fait mine de le toucher. La peau des membres inférieurs est sèche comme du parchemin, froide et bleuâtre. Elle commence à se desquamer et cette desquamation s’accompagne d’un prurit remarquable. Il existe une atrophie importante de tous les muscles. La paralysie est totale, flasque, avec abolition des réflexes. Les symptômes généraux sont à cette période minimes : la température est normale, la soif nocturne est fréquente. Il a été traité par des anti-infectieux (Naïodine B Suractivée intraveineuse) et par de la radiothérapie à doses faibles.

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Je note sur une fiche « Polio » avec un point d’interrogation et je prescris sur les symptômes retenus ARSENICUM ALBUM M, une dose et PLACEBO. Le 11 Juin, je reçois la copie d’une lettre que le médecin traitant a reçue du Pr. DECHAUME, qui avait examiné le malade pendant son hospitalisation. « Je crois bien que le jeune René a une polyradiculo-névrite à cause de la légère diffusion aux membres supérieurs (abolition des réflexes), de l’hyperesthésie irritante avec troubles trophiques rappelant l’acrodynie… Je crois qu’il faut différer la ponction lombaire qui est inutile maintenant. Il faut continuer les anti-infectieux, donner par la bouche un peu de Sédatonyl pour calmer l’hyperesthésie « . Si, à partir de ce moment-là, j’ai un diagnostic, je n’ai pas la certitude que cette polyradiculonévrite soit le fait de la vaccination. Mais quelle autre raison ce garçon jusque là bien portant avait-il de faire cette maladie ? On sait que le virus peut passer dans le sang et dans le L.C.R. Par contre, j’ai une certitude. C’est celle de l’action d’ARSENICUM. Trois semaines plus tard, je vais revoir ce garçon qui fait des progrès considérables et rapides. Il a retrouvé l’appétit perdu, il remue constamment dans son lit et recouvre un peu de motilité à ses membres inférieurs. Le 30 Juin : deuxième dose d’ARSENICUM ALBUM M. Les progrès se manifestent quotidiennement. PLACEBO jusqu’au 2 septembre. Ce jour là une dose d’ARSENICUM ALBUM XM qui sera répétée le 20 Octobre. S’il a recouvré toute sa motilité en quelques semaines, il ne marchera sans appui qu’au début octobre, soit quatre mois après la première prise d’ARSENICUM.

Le remède a-t-il été efficace, si la convalescence a été longue ? Je puis l’assurer par le fait qu’au cours du traitement classique la paralysie continuait à s’étendre. C’est le motif pour lequel j’avais été appelé aussi loin de chez moi. Dès la première prise d’ARSENICUM elle a commencé à régresser. L’épilogue de cette histoire se situe le 2 octobre dernier, soit le 2 Octobre 1969. J’ai reçu une lettre du Pr. Georges MOULIN, de Lyon me demandant si M. René G… pouvait sans inconvénient subir une vaccination contre la variole et la fièvre jaune, indispensable dans les déplacements professionnels qu’il doit effectuer prochainement. Il me rappelait : « Ce malade a présenté à l’âge de 11 ans, en 1954, quinze jours après une revaccination antivariolique, un épisode polyradiculonévrite qui le maintint paralysé de l’hémicorps inférieur pendant huit mois. Le malade a parfaitement récupéré et n’a subi depuis aucune vaccination. Comme vous l’avez soigné à cette époque et que vous vous souvenez certainement de son cas, je me permets de vous demander : 1 – Quel diagnostic avait été retenu ? 2 – Quelle étiologie on avait attribué à la polyradiculonévrite ? (coïncidence ou complication de la vaccination ?). Le doute persiste encore aujourd’hui« . L’étiologie de la maladie importe moins que la quête des symptômes permettant de guérir.

 

                     Plus une population est polyvaccinée, plus il y a de morts précoces !

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Voici le cas du jeune Lionel M… victime d’une vaccination par le B.C.G. C’est un garçon que je connais bien. Il est né le 25 Juillet 1939 et j’ai accouché sa mère. Il n’y a rien de marquant dans ses antécédents, sinon un tænia qui fut longtemps rebelle et une énurésie encore plus longtemps rebelle. Voyant d’ailleurs mon incapacité à le guérir, sa mère prit un parti décisif. Tous les soirs, elle lui nouait la verge d’une belle faveur. L’effet en fut rapide et radical !

Le 22 Novembre 1955, il avait alors 10 ans, il est vacciné par le B.C.G. A quelques semaines de là, apparaissent, sur la face, des placards érythémateux légèrement infiltrés, à contours réguliers, recouverts de petites squames grises, adhérentes. Symétriques, superficiels, ces placards dessinent de chaque côté du nez les ailes d’une chauve-souris. C’est un lupus érythémateux typique qui a débuté il y a huit semaines. Cette affection, de nature tuberculeuse (on la classe dans les tuberculoïdes), évolue habituellement en laissant une atrophie indélébile et parfois mutilante de la peau. Sur des symptômes généraux (sensibilité à l’air froid, prend facilement froid, nausées ou vomissements en voiture, etc…) mais aussi sur l’aspect de la lésion, je prescris le 11 Février 1955 : SEPIA 7 CH. Deux doses à quatre semaines d’intervalles. Je le revois le 3 Mai de la même année. L’érythème s’est effacé quelques jours après la première dose. Il persiste une éruption acnéiforme sur la région occupée antérieurement par les plaques érythémateuses. La prescription est renouvelée ainsi : SEPIA 9 CH, deux doses à six semaines d’intervalle. Depuis longtemps, il a recouvré un visage tout à fait normal.

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La vaccine, avec ses incidents / accidents, est une affection qui a une symptomatologie propre. Les incidents et les accidents sont justiciables des remèdes individualisés sur les symptômes du malade qui réagit selon sa propre personnalité à l’invasion forcée de son organisme par une toxine. Ceci est une règle qui est toujours vraie, qu’il s’agisse de la maladie aiguë ou de la maladie chronique. Dans celle-ci, si THUYA est le remède le plus souvent indiqué, il convient d’appuyer sur le fait qu’il n’est pas le seul. Quant aux autres « vaccinations », THUYA n’y a aucune indication particulière, ni aucune justification pour une prescription systématique ».

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« Puisqu’on ne peut connaître une malade qu’exclusivement par sa symptomatologie, lorsqu’il n’y a pas de causes évidentes – causa occasionalis – qui l’occasionnent ou l’entretiennent, il est clair que les symptômes doivent seuls servir de guide dans le choix des moyens propres à la guérison. Toutefois il conviendra de ne pas négliger la présence d’une diathèse morbide et des circonstances accessoires. » (Organon, paragraphe 7, de la 6ème édition, Traduction P. SCHMIDT).

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alt                                                                                       Livre de Christian Tal Schaller & Johanne Razanamahay

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Au moment où la Commission à l’Environnement, la Santé publique et la Sécurité alimentaire du Parlement européen s’apprête à soumettre au vote une résolution sur « les réticences à la vaccination et la baisse du taux de vaccination en Europe », un pavé tombe dans la mare des certitudes vaccinolâtres. Ce pavé, c’est le rapport officiel d’une Commission d’enquête parlementaire italienne rendu public le 7 février 2018. L’objet du rapport : comprendre les raisons de milliers de décès et de maladies graves chez les personnels militaires italiens affectés à des missions à l’étranger. Les experts ont pris en compte tous les facteurs de risques auxquels ils ont été exposés, au premier rang desquels l’uranium appauvri présent dans les bombes et d’autres agents liés à l’armement. Mais ils ont également analysé d’autres facteurs de risque, notamment pour les soldats jamais partis en mission, et l’un d’entre eux retiendra en particulier notre attention en ce moment : les vaccins. 

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Après 18 années d’enquête pour déterminer les causes de milliers de décès, cette Commission parlementaire a identifié un risque significatif de développer des cancers et des maladies auto-immunes après l’administration de vaccins combinés et multi-doses, tels que recommandés dans le calendrier de prévention militaire (p. 156 du rapport). Rappelons ici que les vaccins pour les militaires sont identiques aux vaccins pour les enfants (pp. 156-157).

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Les résultats de l’examen de la Commission – dont les intérêts ne sont ni en faveur, ni opposés aux vaccins et qui ne peut être considérée comme « appartenant à des mouvements réticents à la vaccination », – sont un sérieux signal d’alarme dans le contexte actuel de l’extension des obligations vaccinales en Europe. Les éléments qui suivent devraient donc faire réfléchir à deux fois les autorités européennes :

  • La Commission n’a pas pu trouver une seule étude démontrant la sûreté des vaccins combinés (p. 154). • La Commission a estimé que « la quantité cumulée des différents composants des vaccins dépasse les quantités autorisées pour les autorisations de mise sur le marché des vaccins monovalents » . Cela signifie que dans les vaccins combinés, la somme des adjuvants (par exemple, aluminium ou mercure), conservants et contaminants biologiques – virus, bactéries, mycoplasmes et mycobactéries, ainsi que l’ADN fœtal humain ou d’ADN animal, provenant des tissus organiques de culture pour la fabrication des vaccins – n’a pas été testée.
  • « Les vaccins qui ont un nombre important de composants en termes quantitatifs, mais aussi en variété des composants étrangers, déterminent un nombre plus élevé d’effets secondaires. » (p. 139)
  • Entre autres, la Commission s’inquiète de l’usage et de la sécurité des vaccins à base d’adjuvants aluminiques (p. 160) (type vaccins « polio » hexavalents recommandés aussi chez les enfants), des quantités élevées d’ADN humain et animal retrouvées dans certains vaccins (ROR) et de la présence de nanoparticules inflammatoires polluant tous les vaccins. (pp. 157, 159, 165).
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Pour lire la suite des conclusions du rapportet surtout ses recommandations en terme de pratique vaccinale pour les soldats italiens (infiniment plus prudentes que celles que nous préconisons ici pour nos nourrissons !), cliquez ici.

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L’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) est dans la tourmente. La semaine dernière, la cour administrative d’appel de Nantes a tranché en faveur d’un quinquagénaire de la Sarthe engagé dans un bras de fer contre cet établissement public placé sous la tutelle du ministère de la santé. En cause : les préjudices considérables subis à la suite d’une vaccination obligatoire contre la variole lorsqu’il avait dix mois. En effet, une semaine après l’injection du vaccin, des chutes inexpliquées, suivies d’un coma, d’une hémorragie cérébrale et d’un hématome avaient affecté sa santé ; celle-ci s’est encore dégradée à l’âge adulte, avec une perte progressive de la vue à partir de 2009, puis de l’audition un an plus tard.

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Sa mère, représentante légale de cet homme aujourd’hui handicapé à 70 %, avait initialement demandé une provision de 400 000 euros. Seuls 50 000 euros lui avaient été accordés par le tribunal administratif de Nantes ; une somme encore trop élevée pour l’Oniam, qui souhaitait voir cette provision plafonnée à 20 000 euros et avait donc fait appel de la décision. Mais après avoir reconnu la réalité du préjudice, son lien avec la vaccination obligatoire et la nécessité de le voir pris en charge par la solidarité nationale, la cour administrative d’appel de Nantes a fini par accorder 80 000 euros à la requérante.

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Cette semaine, c’était au tour d’une aide-soignante de demander des comptes à l’Oniam. Plus précisément 1 002 775 euros, dans le cadre d’un procès qui s’est ouvert ce mardi 13 novembre au tribunal administratif de Poitiers. Vaccinée contre l’hépatite B et le ROR (rougeole-oreillons-rubéole) en août et septembre 2011, elle développe dans les heures qui suivent de la fièvre et des courbatures, puis éprouve quelques jours plus tard des sensations de brûlure dans le corps. On identifie à l’époque ces symptômes comme ceux d’une fibromyalgie, encore non reconnue comme maladie en France.

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En 2013, le diagnostic s’affine : une biopsie révèle une myofasciite à macrophage, provoquée par la présence dans son corps d’hydroxyde d’aluminium (adjuvant aluminique de nombreux vaccins). Cette maladie très handicapante est désormais bien documentée (notamment par les travaux du Pr Romain Gherardi), et les patients se battent pour être reconnus – via l’association E3M par exemple – face à des autorités sanitaires dans le déni. Pour l’aide-soignante, une première expertise avait, comme c’est souvent le cas, conclu à une absence de lien de causalité entre la vaccination et son état de santé. Ceci malgré une solide jurisprudence et 8 arrêts favorables du Conseil d’État reconnaissant le lien entre aluminium vaccinal et myofasciite à macrophages… L’avocat, suspectant un parti-pris des experts en faveur des laboratoires commercialisant le vaccin, a demandé une nouvelle analyse. Le rapporteur public semble y être favorable ; le tribunal devrait rendre sa décision dans deux semaines.

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Gageons qu’avec le refus incompréhensible des autorités sanitaires de prendre au sérieux la question des adjuvants et le passage en force d’une loi étendant à 11 le nombre de vaccins obligatoires pour les enfants, ce genre d’affaires, va, hélas, se multiplier dans les années à venir.

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