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Cas clinique (protéinose alvéolaire) :

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Mr. R… est le jeune directeur (71 kg pour 1,80 m) d’une petite société de sécurité informatique. Depuis 4 ans, il tousse tous les hivers et cette année, la bronchite n’a pas cédée, la toux est grasse, l’expectoration jaune verte au lever. Il est épuisé.

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Il n’a pas d’antécédents notable, sauf un rhume des foins au printemps et trois crises de colique néphrétique, pathologie dont souffre aussi ses mère et grand-mère.

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Il rapporte de sa consultation à l’hôpital universitaire, où une bronchoscopie a été effectuée, le diagnostic de PROTEINOSE ALVEOLAIRE, maladie rare d’étiologie inconnue, caractérisée par le comblement progressif des alvéoles par du matériel granuleux constitué de protéines et de phospholipides.

L’évolution de la maladie est imprévisible, la plupart des patients souffrent d’une dyspnée d’effort progressivement croissante.

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Notre confrère, le dr. Eric HARDER, qui le voit en premier à Genève, demande un bilan des IgG3 alimentaires. Celui-ci révèle une intolérance forte aux féculents, au tournesol et aux fruits à coque (amande, arachide, noisette). L’arrêt de ces aliments apporte une amélioration clinique spectaculaire en trois semaines.

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Un BNS est alors pratiqué, afin d’affiner notre compréhension du cas :

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Ce profil est perturbé :

       Hypo Albumines, hyper Bêta et Gamma précipitines (inflammation chronique, terrain de l’auto-immunité)

       Tests hyperfloculants, surtout les paramètres Acide, Zinc et Iode (qui signent l’intolérance alimentaire)

Les deux plantes choisis sur la base de données du système pour corriger cet état sont :

       Glycyrrhiza glabra … la réglisse, « reine des glaires » en MTC

       Glechoma hederacea … le lierre terrestre, immunomodulante et antiseptique

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La situation se stabilise durant une année. Il arrête son traitement en septembre.

La peur de la grippe « A » le pousse à se faire vacciner : il est mal durant 15 jours, puis apparait un retour de la dyspnée (DLCO = 45%).

Il est alors obligé de se faire effectuer un « lavage pulmonaire » (8 heures sous sédation).

Un second BNS et son traitement adapté permet de stabiliser de nouveau la situation.

Si vous souhaitez réaliser un BNS12 ou 24, cliquez sur ce lien : www.mybiobox.com

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