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Remèdes du tractus digestif.

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Ulcère gastro-intestinal …

But : diminuer la sécrétion d’HCl des muqueuses ou augmenter leur résistance à l’agression acide (après avoir arrêté les médicaments qui réduisent la sécrétion du mucus de protection : aspirine, AINS et corticoïdes) :

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  • Antagonistes histaminiques H2 (Cimétidine, Ranitidine … avec risque de gynécomastie !)

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  • Antiacides : NaHCO3, CaCO3 (ex: Rennie), Mg(OH)2, Al(OH)3 (ex: Gaviscon)

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  • Inhibiteurs de la pompe à protons (IPP: Oméprazole, Lansoprazole … médicaments contre les remontées acides et les ulcères peptiques par reflux). Médicaments (chers !) perturbent le métabolisme rénal et hépatique et augmentent la perméabilité intestinale, le risque de pneumonie, d’infection digestive, de diarrhée, et provoquent des déficits en vitamine B12 et en calcium !

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On peut discuter de l’éradication de l’Hélicobacter pilori (trithérapie antibiotique !), présent dans 70% des ulcères gastriques et 95% des ulcères duodénaux. En fait, l’hyper-acidité locale apparaît aux changements de saison (cf: pathologies saisonnières de la MTC). En MTC, on dit que « le bois soulève la terre »: le corps exprime la pression émotionnelle constante qu’il n’arrive plus à gérer). Dans l’absolu: écoute et relaxation sont les meilleurs médicaments !

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NB. C’est une étude réalisée par des chercheurs de l’hôpital Queen Mary de Hong-Kong et publiée dans la revue médicale Gut en octobre 2017, qui révèle cette information effarante. La prise d’IPP augmenterait le risque de cancer de l’estomac, en particulier chez les patients infectés par Helicobacter pilori.

  • Le risque double chez ceux qui ont pris des IPP pendant moins d’un an.
  • Les personnes qui ont pris régulièrement un IPP pendant plus d’un an courent un risque cinq fois plus élevé.
  • Et il y a huit fois plus de risques de développer un cancer de l’estomac pour ceux qui ont suivi un traitement aux IPP pendant deux ans ou plus.

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Une autre étude publiée en 2017 dans le prestigieux British Medical Journal indique que la prise répétée d’IPP favoriserait l’apparition de maladies graves voire mortelles :

  • Augmentation de 44 % du risque de démence et d’Alzheimer [3]
  • Augmentation de 20 % du risque d’infarctus quel que soit votre âge [4]
  • Augmentation de 122 % du risque de mourir d’une maladie cardiovasculaire
  • Augmentation de 20 à 50 % du risque d’insuffisance rénale

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La célèbre « Food and Drug Administration », l’équivalent américain de notre Agence du médicament, a même lancé une alerte sur les effets désastreux de ce traitement.

NB. Un bon médecin homéopathe est capable de soigner 90 % des problèmes digestifs !

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Hernie hiatale

débloquer la dynamique du diaphragme par l’ostéopathie ++

Evaluez l’existence d’intolérances alimentaires (IMUPRO)

Phytothérapie : Glycyrrhiza glabra (s), la réglisse, meilleur anti-inflammatoire de l’estomac et du colon, mais à ne pas prendre trop longtemps (pas plus de 10 jours/mois), car fait monter la pression artérielle

ou Ficus carica (ph). Pour plus de détails voir le chapitre ULCUS

Sérothérapie: « HEPATIMA » + « NEURIMA »

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Calculs biliaires 

Les médicaments pour dissoudre les calculs biliaires: Acide ursodéoxycholique (risque de rashs cutanés !)

Phyto : Chrysanthellum americanum, composée qui fait fondre les calculs rénaux, biliaires, salivaires (prévoir une année de traitement) ou Parietaria (al).

Evitez la « cure du foie » (très à la mode dans les milieux naturopathiques) : sulfate de magnésium et jus de pamplemousse, qui nettoie les voies biliaires, mais risqué si insuffisance hépatique …

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  La constipation

Les laxatifs (si constipation … attention au rôle délétère par les opiacée, tranquillisants, somnifères !) :

  • De lest (produits gonflants qui augmentent la masse des selles) = son, ispaghula, psyllium
  • Osmotiques (font gonfler le bol alimentaire) = Mg SO4, Lactulose
  • Les stimulants de la motilité intrinsèque : Séné, Cascara (anthraquinones)
  • Les lubrifiants = huile de paraffine ou Ricin (mais réduit l’absorption des vit A et D)

Phyto : Choléodoron (lab. Weleda = Curcuma + Chelidonium aa 1 DH) 5 gouttes dans un peu d’eau tiède après les trois repas.

Sérothérapie: « HEPATIMA » + KARDIMA (si hémorroïdes récidivantes)

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Les anti-diarrhéiques

(diarrhées motrices : intoxication alimentaire) :

  • Inhibiteurs de la mobilité = opiacés (ex.: Imodium)
  • Les extraits pancréatiques (trypsine, amylase, lipase = si mucoviscidose)

Physiologique : l’argile alimentaire (Smecta) et les Probiotiques ++

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Maladies inflammatoires de l’intestin

(MICI = RCH et Crohn) :

  • Corticostéroïdes … lors des poussées
  • Aminosalicylates … qui espace les rechutes (sulphasalazine, mésalazine, olazalazine)
  • Infliximab … anticorps monoclonal (anti TNF alpha)

BNS indispensable, avec EFFICOMPLEX n°6, argile et probiotiques

Sérothérapie: « HEPATIMA » + « NEURIMA » + VITALIMA (IMMOV)

Alimentation anti-inflammatoire avec le « Modulen » (si pas d’intolérance au laitages)

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