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Souffrez-vous des ondes électromagnétiques ?

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Imaginez que la simple présence d’un téléphone portable, d’une antenne-relais, d’appareils électriques même, déclenche chez vous des douleurs, maux de tête, maux de dents, sonnerie dans les oreilles, sensations de brûlure sur la peau. Vous ne pouvez plus entrer dans un bureau, une galerie commerciale… Vous devez dépenser des fortunes et consacrer un temps considérable à aménager votre maison pour vous mettre à l’abri. Vous ne pouvez même plus sortir dans un centre-ville sans vous protéger la tête avec un casque recouvert d’aluminium… Mais au lieu de vous plaindre, tout le monde se moque de vous. Le diagnostic d’hypochondriaque n’est pas loin …

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Côté médecine, vous ne rencontrez qu’incompréhension, sourires en coin, sarcasmes. Les seules personnes qui s’intéressent à votre cas sont des journalistes télé qui cherchent à faire un documentaire sur la bête curieuse que vous êtes. En fait, toute la société s’arc-boute pour nier une réalité incontestable : les ondes électromagnétiques nous ont envahis, et les conséquences sur le fonctionnement de nos cellules sont aussi certaines que le fait que la Terre tourne autour du soleil, ainsi que je vais l’expliquer dans un instant.

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Sur un plan scientifique, il faut retenir trois choses :

1/ Nous sommes sans cesse traversés par des ondes électro-magnétiques cosmiques et telluriques

2/la puissance reçue est égale à la puissance émise x le temps d’exposition, divisé par le carré de la distance à l’émetteur 

Donc s’éloigner de ceux-ci est une excellente parade

3/ le « grillage à poule » permet de fabriquer une « cage de Faraday » à moindre coût, qui constitue une excellent protection contre les ondes électro-magnétiques. Il est à présent proposé divers vêtements tissés avec du fil de cuivre, qui vous permettent de porter votre cage de faraday sur vous en permanence :

https://www.a-zgesund.ch/modules/wbsShop/index.php?cat_id=48&location_id=71

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Une propagande pour nier la réalité ?

Les personnes qui s’inquiètent des ondes électromagnétiques sont – pour l’essentiel de notre pratique – des phobiques et parfois même des obsessionnels hypochondriaques (beaucoup ont donc tendance à les qualifier de malades imaginaires !).

Il est vrai que les enjeux financiers derrière ce débat sont énormes. Si, demain, il était officiellement reconnu que les ondes électromagnétiques rendent les enfants hyperactifs, stressent les adultes, tuent les cellules, accélèrent le vieillissement et donnent le cancer… des pans entiers de l’économie s’écrouleraient. Non seulement l’industrie des télécommunications mais aussi tous les secteurs qui recourent au wifi, aux téléphones mobiles, aux radios, aux communications par satellite pour fonctionner.

Dans les pays riches, inutile d’insister : c’est toute la société qui serait à réorganiser. Mais ce qu’on ignore en général, c’est que c’est encore plus vrai dans les pays pauvres. Ces pays n’ont jamais développé d’infrastructures de télécommunication terrestres (par les câbles et les fils électriques). Ils sont par contre couverts par des relais de téléphonie mobile, devenus indispensables aux populations pour leurs activités quotidiennes : commerce, transport, information et même services bancaires. Sans cela, ce serait la catastrophe.

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Omerta sur l’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques ?

Il ne faut donc pas s’étonner de l’omerta qui pèse aujourd’hui sur les cas d’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques. Il s’agit de cas cliniques, décrits par des médecins, de personnes souffrant des symptômes les plus divers en présence d’ondes électromagnétiques : maux de crâne, maux de dents et de gencives, acouphènes (sonneries dans les oreilles), troubles du rythme cardiaque, douleurs articulaires, sommeil agité, fatigue, irritabilité…

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Pour se protéger des ondes, ces personnes sont obligées de vivre dans les rares forêts, montagnes, grottes qui sont encore préservées des ondes électromagnétiques artificielles. En ville, là où les ondes sont omniprésentes, elles doivent se couvrir de protections métalliques.

Entre autres cas de personnes ayant témoigné d’une forte baisse de leurs maux de tête, problèmes de sommeil, anxiété, etc., ils rapportent le cas, plus spectaculaire encore, d’une dame de 80 ans souffrant de diabète. Pour traiter sa maladie, elle devait mesurer son niveau de sucre sanguin (glycémie) chaque matin à 7 heures, avant de prendre son petit-déjeuner, et prendre de l’insuline. Avant l’installation du filtre, sa glycémie à jeun le matin variait entre 152 et 209 mg/dL, avec une moyenne de 171 mg/dL. Le diabète est défini par un taux supérieur à 126 mg/dL, le prédiabète par un taux de 100 à 125. Le lendemain du jour où le filtre fut installé, son taux de sucre à jeun était normal, à 87 mg/dL. Elle ne prit donc pas son insuline (sans quoi elle serait tombée en hypoglycémie). Les jours où elle sortait et se rendait dans des lieux publics susceptibles d’avoir de hauts niveaux d’ondes, son niveau de glucose augmentait de façon significative [1].

Toutefois, malgré ces études, malgré les spectaculaires émissions régulièrement diffusées par les télévisions, la réalité même de l’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques reste vigoureusement contestée. Il est de bon ton de souligner que les études sur ces personnes ont montré qu’elles étaient incapables de savoir, en fonction des symptômes qu’elles prétendent ressentir, si elles étaient réellement soumises à un rayonnement électromagnétique !

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L’électrohypersenbilité pourrait résulter :

– d’une prédisposition génétique à l’électrosensibilité

– d’une prédisposition génétique éventuellement associée à un nombre plus important de magnétosomes (des cristaux de fer naturellement aimantés, présents par millions dans nos articulations et notre système nerveux)

– d’une sur-activité du cervelet, stimulé par les signaux d’un électro-sens archaïque, située dans la membrane cellulaire sous la forme d’une protéine « électroréceptrice »

– d’un excès ou d’un manque (hypocalcémie) de ions calcium au sein du milieu intracellulaire, qui entraînent une cascade de réactions en chaine produisant des radicaux libres et du stress oxydant

– d’une intoxication chimique via un empoisonnement aux métaux (plomb, mercure, fer…), ou la présence d’amalgames dentaires, et de prothèses métalliques (vis, stérilet, piercings, etc.)

– d’une surexposition soudaine ou cumulée, personnelle ou professionnelle (administrateur de réseau sans fil, conducteur de train, opérateur radio)

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Malgré des symptômes similaires, chaque électrohypersensibilité individuelle pourrait donc avoir une origine différente, voire conjuguer une synergie de facteurs innés et acquis. Ce qui suppose des stratégies de traitement et de prévention personnalisées, adaptées à chaque cas.

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Entre mai 2008 et mars 2010, l’ARTAC a recensé 425 personnes se disant électrosensibles, explique le Pr. Belpomme, cancérologue et président de l’ARTAC. Parmi ces EHS, 204 sont venues consulter, 190 ont réalisé des tests biologiques… Et 141 ont passé un encéphaloscan (écho-doppler cérébral pulsé), une technique d’imagerie cérébrale qui visualise les changements de débit vasculaire. « Ces examens ont permis d’éliminer toute cause psychiatrique ou une éventuelle pathologie causale comme les migraines ou l’accident vasculaire cérébral, et confirment l’ouverture de la barrière hémato encéphalique. Les changements de débit sanguin observés sont en effet assez caractéristiques. Le profil d’hypoperfusion cérébrale mis en en évidence peut simuler une maladie d’Alzheimer. Près de cent malades ont déjà été explorés avec des résultats objectifs. Ceux-ci permettent de conclure à la réalité clinique et biologique du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM)

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Outre l’étude de l’ARTAC sur les marqueurs biologiques, parue en décembre 2015, le 5ème colloque de l’Appel de Paris, organisé à l’Académie Royale de Médecine, à Bruxelles en mai 2015, a ouvert la voie à une approche clinique globale : celle d’envisager qu’un même mécanisme soit à l’œuvre derrière des maladies apparemment aussi diverses que l’électrohypersensibilité, l’hypersensibilité chimique multiple, la fibromyalgie ou encore le syndrome de fatigue chronique. « Ces pathologies, EHS et MCS en particulier, présentent de nombreux points communs : une exposition préalable, des réactions d’hypersensibilité, des pathologies fréquemment présentes chez une même personne, des symptômes liés au cerveau, et d’autres à des tissus périphériques. »

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https://citizen-light.fr/histoires-dondes/

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Ces similitudes suggèrent la présence de deux mécanismes conjoints, « un cercle vicieux biochimique local, de sur-réaction à une exposition, un allergène, etc ; et une sensibilisation neurale connue sous le nom de potentialisation à long terme » a expliqué le biochimiste américain Martin Pall, soulignant ensuite dans ces processus le rôle clé joué par le calcium au travers des canaux calciques dépendant du voltage (abrégé CCVD en anglais). Le rôle central du calcium des membranes cellulaires dans la régulation de l’électrochimie du corps, et donc de son électrosensibilité, a déjà été souligné par d’autres chercheurs.

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Ces canaux d’entrée du calcium dans les cellules, essentiels à la transmission du signal nerveux et caractéristiques des cellules nerveuses, qu’il s’agisse de cellules des muscles, du cœur, de l’intestin ou du cerveau. Influer et perturber le bon fonctionnement des CCVD initialiserait un premier niveau de sensibilité qui se manifesterait alors, selon les personnes, par toute une palette de symptômes.

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Les compagnies d’assurance se couvrent

Les ondes électromagnétiques sont officiellement encore « inoffensives », mais les assureurs, eux, ont pris leurs précautions depuis longtemps. Depuis 2003, ils ont pris soin d’inscrire en toutes lettres dans leurs contrats qu’ils se désengagent des « dommages de toute nature liés aux champs et ondes électromagnétiques » vis-à-vis des opérateurs de téléphonie mobile [2].

Les dégâts liés aux ondes ont donc acquis le même statut que ceux causés par l’amiante : ils sont inassurables, même dans la catégorie « grand risques ». Les ondes figurent d’ailleurs aussi aux côtés de l’amiante dans la catégorie 2B des agents cancérogènes possibles définie par le Centre international de recherches sur le cancer de l’OMS, tout comme le plomb et le DDT [3]. Et pour cause : médicalement parlant, il y a de très bonnes raisons de penser que le fonctionnement de nos cellules est fortement influencé et même perturbé, par les ondes électromagnétiques qui circulent autour de nous [4].

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Les champs magnétiques jouent pourtant un rôle fondamental dans notre biologie

Les ondes électromagnétiques, comme leur nom l’indique, interfèrent avec tous les courants électriques et les champs magnétiques. Or, l’électricité et les champs magnétiques jouent un rôle fondamental dans notre biologie et il est impossible qu’il n’y ait pas d’interférence. Par exemple, toutes les cellules vivantes ont un « plus » et un « moins », comme un aimant.

C’est cela qui leur permet de faire entrer et sortir des substances, en les attirant ou en les repoussant, comme les ions sodium et potassium qui sont en flux permanent, ou les ions calcium et magnésium. Les scientifiques savent même mesurer avec des électrodes le potentiel électrique des membranes cellulaires. L’électricité sert aussi à nos cellules nerveuses (neurones) pour communiquer : quand vous touchez quelque chose avec votre main, un récepteur dans votre peau produit un petit choc électrique.

Il passe d’une cellule nerveuse à l’autre par les synapses, qui sont les connecteurs électriques entre les cellules, jusqu’à votre cerveau. L’électricité est même utilisée pour penser : quand vous réfléchissez ou ressentez des émotions votre cerveau s’active, on pourrait presque dire qu’il s’allume comme une ampoule ! Il est possible de suivre cette activité en faisant passer des ondes magnétiques à travers votre cerveau. Ces ondes sont perturbées par les courants électriques internes et c’est en mesurant ces perturbations qu’on sait quelle est la partie du cerveau qui travaille.

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C’est ce qui permet la technique de l’IRM, ou imagerie par résonance magnétique. L’IRM est un énorme électro-aimant qui fait passer à travers votre corps des ondes électromagnétiques et qui mesure ainsi ce qui se passe en vous. Ce n’est donc pas une « théorie » d’expliquer que le corps humain est influencé par les ondes électromagnétiques de l’environnement, c’est un fait avéré. Ces ondes ont toujours existé, mais elles étaient historiquement faibles.

Dans la nature, les plus notables proviennent du champ magnétique terrestre qui explique le phénomène de la boussole, où une aiguille aimantée s’aligne spontanément sur l’axe nord-sud. Depuis l’invention et la diffusion de l’électricité, par contre, des ondes électromagnétiques incomparablement plus fortes ont envahi notre environnement. Nous sommes aujourd’hui inondés de fréquences électromagnétiques variant de 20 Hertz (train électrique) à un milliard de Hertz (communication sans fil).

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Elles ont commencé à se multiplier avec la radio dans les années 1920, le radar dans les années 1940, la télévision dans les années 1950, les ordinateurs dans les années 1970, les téléphones portables dans les années 90 et le wifi dans les années 2000. Se pourrait-il que ces ondes perturbent le métabolisme de nos cellules, accélérant le vieillissement et favorisant certaines maladies ? Se pourrait-il qu’elles aient des conséquences sur notre système nerveux, en provoquant maux de tête, fatigue, stress ? Il semble bien que oui, malheureusement.

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Les ondes électromagnétiques hâteraient la mort des cellules ?

En 2007, des scientifiques américains ont exposé des cultures de neurones et d’astrocytes (cellules humaines) à un téléphone mobile GSM. Au bout de deux heures seulement, les gènes de ces cellules ont commencé à s’exprimer différemment. En particulier les gènes associés à l’apoptose, c’est-à-dire le « programme informatique » qui prépare la mort de la cellule, se sont mis en route [5]. C’est une étude évidemment très inquiétante, qui recoupe les résultats d’une étude finlandaise : exposant des cellules à des ondes de téléphone mobile, ces chercheurs ont eux aussi constaté un changement dans les protéines fabriquées par ces cellules [6], ce qui n’est pas étonnant quand on sait que, ultimement, tous les mécanismes biochimiques reposent sur des échanges électriques. À noter toutefois que ces études ont été réalisées sur des cultures cellulaires, non sur des organismes vivants.

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Ondes électromagnétiques et stress

Suite à ces résultats, des études ont été réalisées sur des organismes vivants, à commencer par des plantes. Le Pr Gérard Ledoigt, de l’Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand, a publié les résultats d’une expérience sur des plants de tomate, exposés eux aussi à un champ électromagnétique équivalent à celui d’un téléphone portable. Au bout de dix minutes seulement, les cellules ont commencé à produire d’importantes quantités de « molécules du stress » : calmoduline, inhibiteur de la protéinase, calcium-dependent protein kinase [7]. Ces molécules sont les mêmes que dans les cellules humaines, on peut donc supposer qu’elles réagissent de la même manière.

Il est possible que la présence de téléphones portables et d’ondes wifi dans les lieux publics, les bureaux et les habitations, favorise un état de stress généralisé. « Il y a de l’électricité dans l’air », remarquaient les Anciens : juste avant l’orage, en effet, l’atmosphère est chargés d’électricité statique et les troupeaux s’agitaient, se bousculaient, les bêtes paraissant même ressentir une certaine angoisse. Pourquoi les êtres humains seraient-ils immunisés contre ce phénomène ? Les professeurs le constatent aussi dans les salles de classe. Quand finalement éclate le tonnerre et tombent des torrents de pluie, un soulagement, une joie même gagne les cœurs, tandis que l’électricité qui appesantissait l’atmosphère est nettoyée.

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Les enfants y sont particulièrement sensibles, car leur boîte crânienne est moins épaisse et plus molle. Elle absorbe 60 % de rayonnements électromagnétiques de plus que celle des adultes. Une étude publiée dans la revue Epidemiology a montré que l’utilisation intensive du téléphone portable chez les enfants, et donc l’exposition aux ondes, était associée à un risque 80 % plus élevé de souffrir d’hyperactivité et de troubles du comportement [8].

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Un BNS d’une patiente « électrosensible » : quasiment normal, sauf Albumines élevées, ce qui signe l’augmentation du cortisol, donc de la tension nerveuse …

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Les ondes électromagnétiques favoriseraient les tumeurs au cerveau ?!

En 2011, des chercheurs ont tiré la sonnette d’alarme après avoir étudié l’ensemble des données disponibles sur l’usage du téléphone portable. Ils ont conclu que l’usage du téléphone portable sur le long terme double le risque de tumeur au cerveau [9].

Une autre étude publiée dans la revue Pathophysiology en octobre 2014 a étudié deux populations d’adultes ayant été victimes d’une tumeur du cerveau. Ils ont constaté que le risque augmentait avec l’intensité d’utilisation du téléphone portable. Le risque est plus élevé encore pour les personnes ayant commencé à l’utiliser avant l’âge de 20 ans. Cette augmentation va de 10 à 60 %, avec une moyenne de 30 % [10].

Il s’agit d’informations publiques. Elles semblent avoir été entendues par une partie de la population qui utilise une oreillette ou un kit main-libre pour téléphoner. Mais la réalité est que cette précaution n’est pas suffisante.

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Comment prendre ses précautions ?

C’est donc une précaution élémentaire que de limiter son exposition aux ondes électromagnétiques. La première mesure à prendre, qui est de loin la plus importante pour sa santé, et pas seulement sur le plan des ondes d’ailleurs, est de déménager et de changer de métier si nécessaire. Cela semble radical, impossible même à la plupart d’entre nous qui vivons avec cette conviction, que l’on nous a enfoncée dans le crâne, que nous n’avons pas le choix.

    • D’une façon générale dans votre maison, placez vos appareils électriques contre les murs donnant sur l’extérieur.
    • Ne gardez aucun appareil électrique dans votre chambre et veillez aussi qu’il n’y en ait pas non plus de l’autre côté du mur contre lequel est placé votre lit.
    • Evitez les lampes basse consommation bon marché dites « fluocompactes ». Leur culot contient un ballast électronique renfermant un générateur d’ondes à basse fréquence. Vérifiez en particulier que vous n’en avez pas dans vos lampes de chevet, et remplacez-les par des ampoules LED lumière chaude.
    • Utilisez un ordinateur à écran plat et éloignez-vous au maximum du moniteur, en le plaçant le plus loin possible sur votre bureau. Utilisez un clavier et une souris avec fil.
    • Évitez le wifi pour connecter votre ordinateur à Internet : utilisez un fil.
    • Si vous avez un ordinateur portable, ne le posez pas sur vos genoux ou contre vous. Utilisez un clavier, une souris et si possible un écran externe quand vous pouvez. Utilisez au maximum la batterie, plutôt que de le brancher. Lorsque vous devez le recharger, mettez-le dans un endroit isolé de votre maison.
    • Limitez l’usage de la lumière électrique. Vous redécouvrirez le plaisir de vivre au rythme naturel du cycle du soleil. Si vous téléphonez le soir ou recevez des amis, une lumière très tamisée peut non seulement suffire, mais aussi créer une ambiance plus conviviale.
    • Débranchez votre borne wifi la nuit.
    • Limitez au maximum les radios, scanners, IRMs. Essayez de trouver un médecin désireux et capable de faire un maximum de diagnostics sans se couvrir avec des examens superflus.
    • Si vous avez un bébé, évitez le babyphone : il émet des micro-ondes pulsées particulièrement nocives pour le cerveau des petits.
    • Ne dormez pas à côté de votre téléphone portable. Non seulement il faut l’éteindre et le mettre à charger à l’autre bout de la maison, mais il faut qu’il soit le plus loin possible de vous, car un téléphone portable contient un aimant si puissant qu’il continue à émettre des ondes, même éteint.
    • Traitement anti-oxydant et stabilisant de membranes :
  • Tanakan 3 x 1 ml/j avant les repas
  • Antioxydants : Immun’Age (extraits secs de papaye) 3 sachets/j. ou  Vitamine C 500 à 1000 mg/j (attention aux calculs rénaux)
  • Complexe de vitamines B
  • Magnésium : environ 3 x 160 mg/j
  • Omega 3 : EPA environ 3 x 150 mg/j. + DHA environ 3 x 110 mg/j.
  • Vitamine D3 de 500 jusqu’à 2000 Ui/j. exemple : Vi-D3 (gouttes) ou D3K2
  • Vitamine E

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Sources de cet article :
[1] Dirty Electricity and Electrical Hypersensitivity: Five Case Studies
[2] Les assureurs n’assurent plus ‘les dommages de toute nature causés par les champs et ondes électromagnétiques’ – 19/02/2003
[3] Classification 2B des hyperfréquences par l’OMS : communiqué n°200 et 208 de l’OMS/IARC.
[4] Dirty Electricity and Electrical Hypersensitivity: Five Case Studies
[5] Exposure to cell phone radiation up-regulates apoptosis genes in primary cultures of neurons and astrocytes
[6] Mobile phone radiation causes changes in gene and protein expression in human endothelial cell lines and the response seems to be genome- and proteome-dependent
[7] Les tomates souffrent sous l’effet des ondes
[8] Divan HA, Kheifets L, Obel C, Olsen J., Prenatal and postnatal exposure to cell phone use and behavioral problems in children, Epidemiology. 2008 Jul;19(4):523-9
[9] Mobile phones and head tumours. The discrepancies in cause-effect relationships in the epidemiological studies – how do they arise?
[10] Mobile phone and cordless phone use and the risk for glioma – Analysis of pooled case-control studies in Sweden, 1997–2003 and 2007–2009

LOUPPE Benoit « Pollutions électromagnétiques, origines – effets biologiques – dépistage – Solutions » Nature et progrès Belgique, 2001

NB. Article réalisé d’après la newsletter de Jean-Marc Dupuis (La Lettre Santé Nature Innovation )

Pour plus de renseignements, téléchargez et lire : Wi-Fi and Device Studies

Livre pour se protéger de la pollutions électromagnétique : « Comment se protéger des ondes électromagnétiques ? Guide complet » par david BRUNO
Informations sur les ondes :
http://www.criirem. org
http://www.next-up.org
http://www.robindestoits.org
Emplacement des antennes relais et autres types d’antennes dans votre environnement :
http://www.cartoradio.fr
Association pour une réglementation des implantations des antennes relais : http://www.priartem.fr/
Collectif pour les électrosensibles : http://www.electrosensible.org

Matériel proposé : https://www.expercem.com/

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